Se marier et pratiquer la continence
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Se marier et pratiquer la continence
Se marier et pratiquer la continence
salam alaykoum;
Le mariage est un devoir que la Communauté doit encourager. Se marier en Islam n'a pas pour seul but de mener une vie autonome dans l'intimité du couple, c'est surtout le moyen d'accéder à une responsabilité et à une respectabilité mises en évidence par un statut moral et juridique qu décourage le célibat. Le mariage islamique fait du devoir marital un acte hautement considéré, mais la continence est la vertu de rigueur vis-à-vis des autres femmes. Il faut baisser les yeux, il faut éviter de parler en privé à une femme étrangère. Tout à fait le contraire du laxisme bestial que les jahilyens nous ont appris. La moindre incartade est sévèrement réprouvée. Ce qui peut paraître d'une austérité insupportable aux efféminés et aux excités d'aujourd'hui est l'état normal des relations entre les deux sexes dans la Communauté islamique.
La femme a de la pudeur, une conscience alerte de son honneur, l'homme observe Dieu et non pas les jambes des femmes qui doivent être couvertes strictement. Mais de là à réduire la femme en esclavage, il y a un abîme. Les coutumes décadentes sont responsables du tort fait à la femme. Celle-ci est un être à pleine dignité ; comme l'homme, elle doit rendre compte de ses actes devant Dieu. Comme l'homme, elle est appelée à s'élever moralement et spirituellement pour mériter un devenir meilleur.
Les abus du mâle, que ce soit en société islamique ou ailleurs, reposent sur sa supériorité physique ; la phallocratie n'est pas une invention du désordre de notre histoire. L'Islam accorde à la femme mariée, comme à la jeune fille et à la veuve, toutes les garanties de sécurité et de dignité. Son père ou son plus proche parent sont obligés de la prendre en charge si elle n'a pas de mari. Celui-ci doit seul, de par la Loi, assurer les dépenses du ménage même si sa femme est riche. La Loi assigne au mari le devoir de diriger la vie conjugale et familiale et de subvenir aux besoins de sa nichée. A la femme le devoir non moins capital de préserver la vie conjugale et familiale des aléas de l'inconstance et de l'instabilité ; deux caractéristiques de la famille dissolue d'aujourd'hui.
La vie de famille en Islam est faite d'affection vraie, sous-tendue de décence, de responsabilité, de pudeur et de chasteté. Les règles de la bonne conduite conjugale sont abondamment exposées dans le Coran et le hadith. C'est dire l'importance que l'Islam accorde à cette institution vitale dans la vie de la Communauté.
salam alaykoum;
Le mariage est un devoir que la Communauté doit encourager. Se marier en Islam n'a pas pour seul but de mener une vie autonome dans l'intimité du couple, c'est surtout le moyen d'accéder à une responsabilité et à une respectabilité mises en évidence par un statut moral et juridique qu décourage le célibat. Le mariage islamique fait du devoir marital un acte hautement considéré, mais la continence est la vertu de rigueur vis-à-vis des autres femmes. Il faut baisser les yeux, il faut éviter de parler en privé à une femme étrangère. Tout à fait le contraire du laxisme bestial que les jahilyens nous ont appris. La moindre incartade est sévèrement réprouvée. Ce qui peut paraître d'une austérité insupportable aux efféminés et aux excités d'aujourd'hui est l'état normal des relations entre les deux sexes dans la Communauté islamique.
La femme a de la pudeur, une conscience alerte de son honneur, l'homme observe Dieu et non pas les jambes des femmes qui doivent être couvertes strictement. Mais de là à réduire la femme en esclavage, il y a un abîme. Les coutumes décadentes sont responsables du tort fait à la femme. Celle-ci est un être à pleine dignité ; comme l'homme, elle doit rendre compte de ses actes devant Dieu. Comme l'homme, elle est appelée à s'élever moralement et spirituellement pour mériter un devenir meilleur.
Les abus du mâle, que ce soit en société islamique ou ailleurs, reposent sur sa supériorité physique ; la phallocratie n'est pas une invention du désordre de notre histoire. L'Islam accorde à la femme mariée, comme à la jeune fille et à la veuve, toutes les garanties de sécurité et de dignité. Son père ou son plus proche parent sont obligés de la prendre en charge si elle n'a pas de mari. Celui-ci doit seul, de par la Loi, assurer les dépenses du ménage même si sa femme est riche. La Loi assigne au mari le devoir de diriger la vie conjugale et familiale et de subvenir aux besoins de sa nichée. A la femme le devoir non moins capital de préserver la vie conjugale et familiale des aléas de l'inconstance et de l'instabilité ; deux caractéristiques de la famille dissolue d'aujourd'hui.
La vie de famille en Islam est faite d'affection vraie, sous-tendue de décence, de responsabilité, de pudeur et de chasteté. Les règles de la bonne conduite conjugale sont abondamment exposées dans le Coran et le hadith. C'est dire l'importance que l'Islam accorde à cette institution vitale dans la vie de la Communauté.
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